0664922481

Véronique Balu

Psychanalyste

Mon parcours

Vos interrogations

« Pour beaucoup de patients, la psychanalyse est la première découverte de soi, mais surtout, la première expérience où la découverte de soi…

Questions pratiques

Le travail psychanalytique peut se limiter à quelques entretiens qui vont permettre d’éclairer une question ponctuelle ou cerner un malaise,…

Mon parcours

« Pour nous, psychanalystes, l’idéal suprême est que le patient souffre moins – cela va sans dire -, mais surtout qu’il souffre moins, durablement, parce qu’il aura appris à mieux connaître sa souffrance et surtout à mieux s’aimer lui-même. Vous voyez, c’est une affaire de connaissance mais aussi d’amour, de connaissance de soi et d’amour de soi. Je m’explique. Si le patient arrive à comprendre émotionnellement pourquoi il souffre, nous verrons sa souffrance s’alléger ; si, au contraire, il n’en veut rien savoir, se crispe et se retranche dans le confort d’un trouble auquel il s’est habitué, alors nous verrons sa souffrance s’aggraver. » J.D Nasio

Véronique Balu
Psychanalyse

De formation littéraire et philosophique, j’ai suivi à Paris l’enseignement de l’EPCI (Ecole Propédeutique à la Connaissance de l’Inconscient). Je continue à approfondir les thématiques fondamentales de la psychanalyse en participant à des séminaires au sein de l’EPCI. Par ailleurs, je coopère à un groupe de travail sur les pathologies névrotiques et narcissiques et l’étude de cas cliniques.

Ma pratique de la psychanalyse est basée sur les découvertes de Freud et les fondements qu’il a posés, puis enrichies par les apports majeurs de Lacan, et leurs successeurs. Elle s’enracine dans mon expérience de vie et ma propre cure psychanalytique.

 

« Désirer, désirer désespérément, désirer jusqu'à la douleur et la détresse, jusqu'au grand vide amer, désirer que ce soit autrement, désirer la fin des cruautés, des folies, de la bêtise, de l’abject, désirer la gaieté, la lumière, la tendresse, avoir si faim, avoir si soif du monde différent et de soi-même différent. »

Maurice Bellet

« S’interroger, c’est éveiller sa conscience. La sortir d’une torpeur et reprendre en son for interne le récit interrompu. Découvrir à quel endroit le nœud s’est formé, me forçant à me quitter moi-même, au risque de me perdre. Et seule une conscience vive et attentive accepte de renoncer à chercher une réponse mais s’apprête à une rencontre. D’abord avec soi-même, mais pas seulement. »

J.F Noël

« Le travail sur soi consiste non pas à connaître, mais à exhumer ce qui a provoqué cette défense de moi-même et qui entrave l’accès à ma vérité »

J.F Noël